SHOWREEL / BANDE DEMO SEB LAFONT
SHOWREEL / BANDE DEMO SEB LAFONT
PORT NOLLOTH : les forçats des diamants
PORT NOLLOTH : les forçats des diamants
Les Shark Angels, ces drôles de dames au service des requins
Les Shark Angels, ces drôles de dames au service des requins
SENEGAL - Sous les pavés... l'arène
SENEGAL - Sous les pavés... l'arène
Obodai Sai : un pêcheur dans les cordes
Obodai Sai : un pêcheur dans les cordes
Ganvié... la Venise du Bénin
Ganvié... la Venise du Bénin
Marajo... l'île aux buffles
Marajo... l'île aux buffles
Les dauphins pêcheurs de Laguna
Les dauphins pêcheurs de Laguna
SHOWREEL / BANDE DEMO SEB LAFONTQuelques images que j'ai tourné pendant mes périples pour Thalassa (Afrique du Sud, Bénin, Sénégal, Ghana et Brésil). Je suis parti pendant plus de 2 mois avec Eric Turpin réaliser 8 films de 13 minutes sur des hommes et des femmes exceptionnels.Ce montage reflète ces rencontres fortes et inoubliables...Just a glimpse of the footage I shot across Africa and Brasil for a series of 8 films. I hope this showreel reflects the emotions I felt meeting these incredible people ?!
PORT NOLLOTH : les forçats des diamants
Les Shark Angels, ces drôles de dames au service des requinsJulie Andersen, Gail Addison et OJ Symcox sont des anges gardiens pas comme les autres... Elles se consacrent à la sauvegarde de poissons qui font fantasmer le monde entier : les requins !On est tous d'accord pour dire qu'il faut sauver les ours, les lions, les tigres et autres léopards mais on se fout pas mal des requins. Ces super prédateurs parfaitement adaptés à leur environnement trainent une sale réputation de tueurs assoiffés de chaire humaine... Conséquence : on pêche toujours + de requins pour en faire de la soupe et on installe toujours + de filets anti-requins qui tuent tout ce qui passe !Les chiffres exceptionnels d'attaques cette année n'arrangent rien...sharkangels.org
SENEGAL - Sous les pavés... l'arèneA une vingtaine de kilomètres de Dakar, les vagues de l’Atlantique rythment la vie du paisible village de M’Bao. Ici, on est pêcheurs de père en fils mais le bon vieux temps ou la mer se montrait généreuse est révolu. Et les jeunes ne rêvent plus de pêche miraculeuse. Thiate est le petit dernier d’une famille nombreuse. Depuis toujours, il passe le plus clair de son temps sur la plage, devenu son terrain d’entraînement ! A M’Bao, la côte n’est pas qu’un lieu de pêche et de baignade, c’est ici que se pratique le sport - roi du Sénégal : la lutte !A 26 ans, Thiate est l’espoir de son village et dans sa chambre, on ne compte plus les trophées.Pour augmenter encore les chances de terrasser l’adversaire, tous les lutteurs se livrent à des rituels mystiques. Chaque lutteur porte sur lui des amulettes préparées par les marabouts et avant chaque combat, il convient de s'asperger le corps avec des potions magiques.La lutte Sénégalaise est un sport, mais chaque combat est aussi un spectacle à part entière. Chaque lutteur invente sa propre chorégraphie qu’il effectue en compagnie de ses proches. Au Sénégal, il ne suffit pas de savoir lutter, pour devenir populaire, il faut aussi danser !
Obodai Sai : un pêcheur dans les cordesJamestown est une banlieue minable et bruyante d’Accra, la capitale du Ghana. Loin des plages à touristes et des immeubles chics, ses habitants survivent tant bien que mal grâce à la pêche. Autrefois, les grandes pirogues ramenaient des tonnes de poisson mais aujourd’hui, les prises sont maigres. Ici un peu plus qu’ailleurs, la vie est une lutte ! Autrefois, les pêcheurs de Jamestown pratiquaient l’asafonomo, une forme de combats collectifs à mains nues. Mais cette coutume a été interdite par les colons anglais qui ont introduit la boxe et ses règles. Depuis, on compte plus d’une vingtaine de gymnases à Jamestown et le bidonville est devenu la Mecque de la boxe.Kpakpo Allotey, Ike Quartey, Joshua Clottey ou encore Azumah Nelson sont autant de grands champions qui ont brillé sur les rings du monde entier. Tous ont appris à boxer dans les salles poussiéreuses de ce minuscule quartier.C’est le cas d’Obodai Sai que j’ai rencontré début 2011 dans la maison moite de son coach. Celui qu’on surnomme ici Le Miracle ne part plus en mer avec son père et ses frères. Il a fait un pari fou : devenir boxeur professionnel !
Ganvié... la Venise du BéninSur les eaux troubles du lac Nokoué, le peuple Tofinu a élu domicile entre ciel et mer. La Venise de l’Afrique abrite 30 000 personnes dans une tiède atmosphère de bout du monde... Le lac nourrit la plupart des familles. Et tous les hommes de Ganvié sont passés maîtres dans l’art du lancer de filet.
Marajo... l'île aux bufflesMarajo est la plus grande île fluviale au monde... Les marécages et la forêt s’étendent sur un territoire plus grand que la Suisse. Un paradis pour les quelque 500.000 buffles et les vaqueiros, les cowboys de Marajo.Jair et sa bande montent à cheval et à dos de buffle comme personne. Ils ont appris à dompter les éléments et ne font plus qu’un avec la nature qui les entoure.Contrairement à Carlos Nimo, le fazendeiro de Sanjo, beaucoup de grands propriétaires sont tentés de déboiser pour planter du soja, bien plus rentable que l’élevage de buffles. Mais la richesse de Marajo est ailleurs : perroquets multicolores, toucans, singes, paresseux, fourmiliers… L’île est un véritable concentré de nature sauvage !
Les dauphins pêcheurs de LagunaLaguna est un port de pêche perdu à l'extrême Sud du Brésil, dans l'état de Santa Catarina. La baie est le seul refuge de la région contre les fureurs de l'Atlantique. Près des bateaux ultra modernes, quelques pêcheurs perpétuent la technique rudimentaire de l'épervier. Comme José Marinho, ils sont aidés par une bande de dauphins sédentaires. Au fil des ans, un partenariat s'est affiné entre les cétacés et les hommes au point de devenir une véritable symbiose...
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